Ce que j’ai compris en vivant ici
- Je suis en pyjama dans la rue : personne ne me juge.
- Je mange pour moins de 2€, et c’est souvent bien meilleur que les restos chics.
- Les gens partagent sans calcul. Ils ne montrent pas leur vie. Ils la vivent.
- Mon planning est libre. Je marche. J’écoute. Je respire. Je suis.
- Je suis accueillie pour qui je suis, pas pour ce que je projette.
Ce que l’Europe m’a fait croire
Qu’il fallait bosser plus pour mériter l’essentiel. Qu’il fallait cacher ses chaussettes, ses pets, ses émotions, sa vérité. Qu’il fallait viser la lune pour vivre décemment. Et qu’il fallait toujours être plus, faire plus, avoir plus.
Et aujourd’hui, je dis stop.
Je ne veux pas fuir la richesse. Je veux la redéfinir.
Ma réalité d’aujourd’hui : 3 000€/mois de liberté
J’ai répondu à une question sur Threads : « De combien as-tu besoin pour vivre ta meilleure vie ? »
J’ai répondu : 3 000€. Pas pour survivre. Pour bien vivre. Ici au Vietnam, c’est : un appart propre, un parc aquatique pour les enfants, des soins accessibles, du temps pour créer, de la beauté sans sacrifice.
Et si la vraie vie de rêve n’était pas là où on te l’a promise ?
Je veux un chez-moi. Une cuisine. Une chambre pour mes enfants. Un sofa. Un bon lit. Mais je n’ai plus besoin de me suradapter, de surjouer ma réussite, ou de cacher mon naturel pour me sentir en paix.
La richesse, ce n’est pas ce que tu montres. C’est ce que tu respires quand personne ne te regarde.
Ce que je choisis désormais
- Vendre mes talents sans m’arracher l’âme
- M’entourer de personnes qui vivent, pas qui prétendent
- Créer des systèmes qui me permettent de rester libre, simple, souveraine
Tu veux la même chose ? Je ne te promets pas 10K demain. Je te promets un espace où tu peux être toi, pleinement.
